Pourquoi une progression spiralaire ?

On entend par "spiralaire" un enseignement qui reprend les essentiels (notions, définitions, vocabulaire, compétences...) dans plusieurs contextes, en augmentant de manière progressive la difficulté ou la complexité des tâches.

Une telle progression permet de respecter la nécessaire réactivation des acquis, sans quoi les élèves ne peuvent apprendre efficacement. (voir la courbe de l’oubli)

Les deux progressions proposées constituent chacune une progression annuelle et s’articulent toutes les deux sur le cycle 4 (progression de cycle).

Progression spiralaire pour la classe de 5ème

• En violet : Séquences rattachées à la partie "Organisation et Transformations de la matière"
• En bleu : Séquence rattachée à la partie "Mouvement et interactions"
• En rouge : Séquences rattachées à la partie "L’énergie, ses transferts et ses conversions"
• En vert : Séquence rattachée à la partie "Des signaux pour observer et communiquer"

Progression spiralaire pour la classe de 4ème

• En violet : Séquences rattachées à la partie "Organisation et Transformations de la matière"
• En bleu : Séquence rattachée à la partie "Mouvement et interactions"
• En rouge : Séquences rattachées à la partie "L’énergie, ses transferts et ses conversions"
• En vert : Séquence rattachée à la partie "Des signaux pour observer et communiquer"

Annexes

• Ressource Eduscol : Aide à la construction d’une progression en physique-chimie au cycle 4

• Fichier Excel : Exemple de tableau pour programmer les essentiels du cycle 3 au cycle 4.

  

• Livret des essentiels de 5ème : (peut être donné en début de 4ème)

  

• Livret des essentiels de 4ème : (peut être donné en début de 3ème)

  

(Remarque : Les essentiels sont notés sous forme de questions-réponses et sont bien identifiés afin de favoriser la mémorisation active. (Il s’agit de la trace écrite).

On entend par mémorisation active le fait de s’interroger avant de répondre, ce qui est beaucoup plus efficace pour la rétention à terme. L’élève cache la réponse et se pose la question en faisant un réel effort de recherche dans sa mémoire. C’est la confrontation entre la réponse juste et ce qu’il pensait qui produit l’effet de mémorisation)